Acte
de restitution
d'héritage
Le génocide reconnu historiquement et juridiquement.
Cette reconnaissance a donc pris deux aspects.
Le premier aspect, démontrait historiquement par Reynald Secher, historien écrivain.
il précise : « la répression exercée en Vendée correspond à un génocide légal proto-industriel qui se manifeste :
- par le vote, à la convention nationale des lois, spécifique à la Vendée :
« La convention vote le 1 août 1793 un premier décret dit d'anéantissement de la Vendée qui prévoit l'exécution des hommes « prix des armes à la main » mais surtout la déportation des femmes des enfants et des vieillards.
Deux mois plus tard, la convention adopte le 1 octobre 1793 un décret modificateur qui ajoute à l'anéantissement matériel de la Vendée, l'extermination de ses habitants.
-Par la mise en œuvre de ce plan d'anéantissement et d'extermination par les colonnes infernales du général Turreau aux ordres de la convention et de Robespierre. »
Le second aspect, démontré juridiquement par Jacques Villemin, diplomate et juriste de haut rang en poste au tribunal international de La Haye au Pays-Bas quand il a commencé à s'intéresser aux guerres de Vendée.
Dans son analyse juridique, ce spécialiste déclare que si les massacres des guerres de Vendée avaient lieu aujourd'hui virgule le droit pénal international les qualifierait de génocide.
. Les massacres des vendéens par les « colonnes infernales » correspondent à la définition de génocide.
L'impossible reconnaissance du génocide par la République
Pour les bénéficiaires de l'héritage qui seraient tentés de penser que tous les frais décrits sont du passé et ont perdu de ce fait, de leur importance, voici un rappel pour les éclairer.
Pour le passé !
Massacre généralisé des vendéens, race maudite à exterminer. La réalité du génocide de la Vendée.
Confirmation par Robespierre qui déclare :
« Vous avez tous les toutes les lois, tout ce qu'il faut pour exterminer légalement nos ennemis. »
Et par le général Thurreau : « il convient de faire de la Vendée un grand cimetière national, afin de purger entièrement le sol de la liberté de cette race maudite ».
Et par bien d'autres dont carriers qui souhaitent appliquer à la France, ce qui se pratique en Vendée :
« nous ferons de la France un cimetière plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon ».
Pour le présent !
Aujourd'hui, Reconnaissance, historique et juridique du génocide vendéen, études et preuves à l'appui.
Aujourd'hui, au XXIème siècle, les décrets d'extermination n'ont toujours pas été abrogés. Aujourd'hui, la République se reconnaît dans la Révolution et dans ses grands ancêtres, qu'elle glorifie.
Comme Robespierre et toutes ses rues qui portent son nom. Comme Thurreau dont le nom figure sous l'arc de triomphe.
Comme Clémenceau sorte de passeur de témoin entre les républicains de 1793 et les républicains actuels.
Voici ce qu'il déclarait à la suite de l'interdiction d'une pièce de théâtre de victorien Sardou, jugé antirépublicaine :
« J'approuve tout de la révolution. J'approuve les massacres de Septembre ou pour s'éclairer, la nuit venue, les travailleurs plantaient des chandelles dans les yeux des Morts. J'approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains ou les vierges accouplées à des hommes, pour imagination néronienne, avant d'être jetées dans la Loire, avaient à la fois l'angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée. J'approuve les horreurs de Lyon où on attachait des enfants à la gueule des canons et les égorgements de vieillards de 90 ans et de jeunes filles à peine nubiles. Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu'on y touche. Je défends que, sur un théâtre qui dépend de l'état, un dramaturge illustre vienne, après plus de cent ans révolus, prononcer une parole de pitié qui serait un outrage au Mânes augustes de Robespierre et de Marat ».
Alors, comment serait-il possible de voir ce régime avoué par quel moyen il doit son existence ?
Oui, les causes appartiennent au passé mais leurs conséquences sont bien dans le présent et à moins d'en atténuer l'importance en dénaturant les faits, par mensonges et manipulations dont nos républicains sont spécialistes, car il faut toujours avoir présent à l'esprit que ce sont les vainqueurs qui écrivent l'histoire officielle, il est toujours tout à fait impossible et donc non souhaitable de les voir reconnaître les génocide vendéen même en les voyant scier la branche sur laquelle ils sont assis.
Et maintenant, par ce présent acte, nous entrons au cœur de notre héritage !
Vous pourrez selon votre convenance liée à la suite la geste et l'épopée de chaque général ou bien choisir en premier celui qui attire le plus votre cœur par l'intermédiaire de votre âme illuminée par la gloire de ses martyrs et héros.
Ils vous tendent la main, voici Jacques Cathelineau, Charles de Bonchamps, Louis de Lescure, Maurice d’Elbée, Henri de la Rochejacquelin, jean-Nicolas Stofflet, François Athanase Charette de la Contrie !
Extrait
Jean-Louis CAFFAREL
Si vous êtes intéressé par ce passionnant « Acte de restitution d’héritage » et connaitre la véritable histoire de ces héros de Vendée, contactez
Monsieur Jean-Louis CAFFAREL, auteur de ce document occulté par le pouvoir républicain.
La Durbelière
caffareljl@hotmail.fr
tel 06 71 36 03 04